Cette année, j’ai beaucoup remis en question ma pratique de l’Histoire. Cette matière a toujours été un calvaire pour moi en tant qu’élève, et elle l’est aussi en tant qu’enseignante. Les rares années où j’ai aimé l’Histoire, ça a été grâce à des profs passionnés et passionnants qui ont réussi à m’y intéresser.
Pour l’enseigner, n’étant pas du tout sûre de moi, ni à l’aise avec cette discipline, je me suis beaucoup reposée sur le traditionnel : distribution/étude de documents, questionnaire en groupe + correction collective et enfin trace écrite. Mes constats : des élèves qui soufflent dès qu’on annonce que l’on va faire de l’Histoire, des évaluations catastrophiques et au final, des enfants qui n’ont pas retenu grand chose…
En farfouillant sur internet pour voir ce qui se faisait…